Si hier on a eu le droit aux résultats du résidanat avec à la clé, la liste des résidents en médecine … Au bardo on nous a dévoilé le médecin résident au palais de Carthage.
Il l’a voulu Dr Moncef Marzouki ce poste, il l’a aimé, rêvé, désiré … Et il l’a eu !
Leur histoire d’amour –la présidence et Dr Marzouki- a commencé en 1994, date à laquelle ce dernier fit le souhait de faire le premier pas. Mais c’était sans compter sur la détermination et la jalousie du ZABA de service à l’époque, qui ne laissa personne s’en approcher et la gardait jalousement.
Après l’avènement du fameux et désormais très chéri par les tunisiens 14 Janvier, Dr Marzouki est l’un des premiers à déclarer sa candidature à savoir le 17 Janvier justement.
Tout le monde se souviendra néanmoins de l’accueil réservé par les sitinneurs de la Kasba à notre actuel président, qui évita à l’époque, un lynchage de la foule. Mais ces évènements n’entamèrent pas l’envie de ce dernier à accéder à son but ultime.
La rumeur dit que Dr Marzouki est athée d’ailleurs c’est la troisième option de recherche que propose google quand on écrit « Moncef Marzouki ». Un athée qui n’hésita à pas à s’allier aux islamistes d’Ennahdha lorsque la campagne battait son plein, il les défendait dans ces interventions et eux le soutenaient et soutenaient son parti. Lui avaient-ils promis quelque chose à l’époque ?
Tout juste après les élections, la Troika, dévoila sa liste des personnalités à la tête des trois postes les plus importants. Sans surprise on retrouva Dr Marzouki à la présidence de l’état. Un cadeau ? Oui, mais un peu empoisonné même, vu que le texte proposé pour la constituante, ne donnait rien ou presque au futur président. Mais même avec sa forme atténuée, il accepta.
Dr Marzouki fera-t-il un bon président ? Prendra-t-il position si ses alliés dérivaient ?
C’est les questions qui interpellent les tunisiens et surtout ceux qui se qualifient comme opposants.
Mais pour une question taraude les journalistes, pourra-t-on critiquer le président de la république pour une fois ? Fera-t-on des programmes caricaturaux à l’instar des guignols en France ? Mais aussi et surtout, les forces politiques feront-elle pression sur la presse et les journalistes ?
Seul l’avenir nous le dira, pour le moment dans la plupart des journaux et des programmes télé : le roi est mort, vive le roi !
Il l’a voulu Dr Moncef Marzouki ce poste, il l’a aimé, rêvé, désiré … Et il l’a eu !
Leur histoire d’amour –la présidence et Dr Marzouki- a commencé en 1994, date à laquelle ce dernier fit le souhait de faire le premier pas. Mais c’était sans compter sur la détermination et la jalousie du ZABA de service à l’époque, qui ne laissa personne s’en approcher et la gardait jalousement.
Après l’avènement du fameux et désormais très chéri par les tunisiens 14 Janvier, Dr Marzouki est l’un des premiers à déclarer sa candidature à savoir le 17 Janvier justement.
Tout le monde se souviendra néanmoins de l’accueil réservé par les sitinneurs de la Kasba à notre actuel président, qui évita à l’époque, un lynchage de la foule. Mais ces évènements n’entamèrent pas l’envie de ce dernier à accéder à son but ultime.
La rumeur dit que Dr Marzouki est athée d’ailleurs c’est la troisième option de recherche que propose google quand on écrit « Moncef Marzouki ». Un athée qui n’hésita à pas à s’allier aux islamistes d’Ennahdha lorsque la campagne battait son plein, il les défendait dans ces interventions et eux le soutenaient et soutenaient son parti. Lui avaient-ils promis quelque chose à l’époque ?
Tout juste après les élections, la Troika, dévoila sa liste des personnalités à la tête des trois postes les plus importants. Sans surprise on retrouva Dr Marzouki à la présidence de l’état. Un cadeau ? Oui, mais un peu empoisonné même, vu que le texte proposé pour la constituante, ne donnait rien ou presque au futur président. Mais même avec sa forme atténuée, il accepta.
Dr Marzouki fera-t-il un bon président ? Prendra-t-il position si ses alliés dérivaient ?
C’est les questions qui interpellent les tunisiens et surtout ceux qui se qualifient comme opposants.
Mais pour une question taraude les journalistes, pourra-t-on critiquer le président de la république pour une fois ? Fera-t-on des programmes caricaturaux à l’instar des guignols en France ? Mais aussi et surtout, les forces politiques feront-elle pression sur la presse et les journalistes ?
Seul l’avenir nous le dira, pour le moment dans la plupart des journaux et des programmes télé : le roi est mort, vive le roi !
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